Qui sommes-nous ? Mabonnepiece.fr
Dans une société qui voudrait suggérer un modèle de consommation productiviste et consumériste à force de campagnes marketing tapageuses, une nouvelle conscience émerge, beaucoup plus respectueuse de l’environnement et des ressources précieuses de la planète.
En effet, plutôt que de remplacer les équipements aussitôt qu’une panne survient, beaucoup d’entre nous souhaitent prolonger leur vie. Non seulement c’est un moyen de faire du bien à la planète, mais c’est aussi une façon de réaliser de substantielles économies.
A l’appui de cette tendance, l’agence de la transition écologique ADEME, dans un document de synthèse publié en avril 2020, établit les bénéfices que ce prolongement induirait avec de gains chiffrés en € et en équivalent CO2 selon plusieurs scénarios :
Dans cette perspective, Mabonnepiece.fr se présente comme la toute première place de marché spécialisée en France, entre particuliers et professionnels, de pièces détachées d’occasion, destinées aux équipements électroménagers et à tous les autres appareils électrique et électronique du foyer.
L’histoire de Ma Bonne Piece
Laurent Larrieu, le fondateur de mabonnepiece, a mené une longue carrière dans l’industrie automobile qui est confrontée depuis des décennies aux enjeux cruciaux du recyclage, de la durabilité et de la réduction du CO2.
En raison de son métier et de sa sensibilité écologique qui l’amène à réparer bon nombre d’équipements de son foyer et alentours, il observe avec dépit des comportements très différents lorsqu’il s’agit de traiter sa voiture et les équipements électroménagers de la maison.
Alors qu’il ne viendrait à l’idée de personne de jeter sa voiture lorsqu’elle tombe en panne, il constate que c’est bien souvent le cas avec le lave-linge, le lave-vaisselle, le four encastrable et bien d’autres équipements. En 2021, alors agé de 54 ans et que la crise COVID-19 bat son plein, il décide que le temps est venu de passer à l’action.
En approfondissant la question de l’obsolescence, Laurent Larrieu découvre qu’il existe un seuil au-delà duquel le consommateur préfère remplacer que réparer. Ainsi, lorsque le reste à charge de la réparation atteint ou dépasse le tiers du remplacement à neuf, le consommateur, le plus souvent, ne répare pas.
En comparant les différentes options auxquelles le consommateur est confronté, Il se forge la conviction que les pièces détachées d’occasion sont une solution efficace d’incitation à la réparation.